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Jean-Maxime
Dufresne et Virginie Laganière
proposaient une série de mises en situations fictives, impliquant
l'utilisation de bâtons lumineux, suggérant des zones d'ambiguité
oscillant entre des rituels festifs, la pratique d'activités hivernales,
des conditions sécuritaires et de repérage territorial. Un
espace sonore, construit parallèlement, traduisait un rapport psychogéographique
aux conditions hivernales. |
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